Armand
Un jour glorieux,
Un jour lumineux,
Oh écriture, ma voix était remplie d’angoisse,
De peine, de peur jour et nuit
Voila grâce a toi le monde entier va désormais écouter ma voix
Et découvrir L’amour profond que je garde pour ma patrie.
Tu es vraiment spéciale
Car dans toute histoire les paroles s’envolent
Mais Les écrits demeurent pour toujours.
Tu as nettoyé toutes les insultes, les calomnies,
L’humiliation qui rongeait mon Cœur
À cause de mon cher pays
République démocratique du Congo
Riche, touristique mais un pays qui n’a toujours pas
À la tête un homme digne, compétent
Pour montrer au monde entier
Combien de fois il peut être puissant,
Utile à travers ses richesses et sa population.
Oui, beaucoup des écrivains ont écrit sur
L’amour, la paix et autres choses
Mais ils n’ont pas pensé à écrire sur la vie réelle
Que mené le peuple congolais souvent menacé, négligé
Dans son propre pays à travers l’égoïsme,
L’injustice, la démocratie verbale non applicable,
Les guerres inutiles en complicité avec les étrangers
et ses propres dirigeants pour s’emparer les biens
Et bien remplir leurs ventres
Depuis les années 1994
Lorsque les soi-disant réfugiés Rwandais ont trouvé refuge en R.D.C
Jusqu’à nos jours et cela a provoqué une véritable catastrophe
Et la chute politique dans le pays.
Avant 1996, le peuple congolais était un peuple humble, aimable,
Charismatique car il ne savait pas comment verser le sang humain
Mais à travers l’entrée de ce peuple Rwandais,
Les Congolais sont devenus des machines à tuer sans pitié.
En R.D.C, personne ne pouvait et ne Peut parle de la vérité concernant
Les meurtres, les viols et les désordres qui se passent dans le pays
Car les autorités sont des véritables machines à tuer.
Comparativement aux autres nations nous sommes appelés
Un peuple bête, imbécile, peureux
Car nous avons tout ce qu’il nous faut pour développer notre pays
Mais on ne sait quoi faire avec toutes ces
Richesses.
Aujourd’hui c’est un jour nouveau pour toi et moi
De nous lever pour combattre les guerres
Ethniques, les rancunes et les mauvaises volontés de gérance
Dans notre pays parce que cela fait à ce que la R.D.C
Ne puisse pas aller vers le développement.
Peuple congolais où est passe notre unité
Aimons-nous les uns les autres car l’union fait la force.
R.D.C, sais-tu combien des pays qui envisage d’être comme toi ?
GEDEON
C'était une journée de volupté dans ce château de toiture colorée d'azur
Là, on palpait du vrai silence et le ciel exhibait dans la droiture un soleil obscur
On recevait alors des temps très beaux dans ce château où nos âmes étaient séduites,
Mon cœur sentait ta flamme, et mes yeux ne voyaient aucun nuage au zénith.
Je te voyais et te sentait tout près de moi du matin au soir, dans la lumière et dans les noirs,
Tu m'avais fait toutes les raisons de te laisser graver dans mon cœur et dans ma mémoire,
A côté de toi toutes mes peines se perdaient dans l'oubli, car tu me plaisais beaucoup
Dans tes deux bras je puisais ma joie et ma folie, et même quand tu baisais mon beau cou,
Je marcherai toujours en avant, et mes yeux vêtus de mélancolie te regarderont derrière.
Je t'enverrai plus de mille bouquets des fleurs matures arrosées des larmes de mes pleures
Mais hélas ! Mes larmes se perdront dans la pluie, et à nouveaux mon cœur réjouira,
Le jour où mes yeux verront le chemin qui me ramera dans tes bras.
J'ai pleines de douleurs causées par cette rupture, et ton amour est la seule anesthésie
Les souvenirs de notre amour traînent dans mes pensées et allument ma nostalgie.
Est-ce que tu peux te rappeler de tes fleurs, et tout amour que t'avais écrit dans mon âme,
Tous tes mots que j'écrits sans espoir et toutes tes fameuses promesses que je slamme
Je marcherai toujours en avant, et mes yeux vêtus de mélancolie te regarderont derrière.
Je t'enverrai plus de mille bouquets des fleurs matures arrosées des larmes de mes pleures
Mais hélas ! Mes larmes se perdront dans la pluie, et à nouveaux mon cœur réjouira,
Le jour où mes yeux verront le chemin que me ramera dans tes bras.
MWANZA
Il y a de ce jour dit anniversaire
Ou chacun de nous se voit à merveille
Se rappelle du jour où il est venu
Excepté des moments qu’il a vécus
Il y a de ce jour où on s’endort
Et se réveiller mendiante
Dans une vie pleine de souffrances
Et des histoires incorrectes
Du champ, de la rivière et de la fumée
A la place d’un grand palais dore
Entoure des servantes parfumées
Sans penser que c’est du passé
On se lamente de la vie
Dont nous présente la vue
Et nous continuons de vivre dans le passé
Au lieu de fabriquer un jour pour la remplacer
Il y a de ce jour noir
Qui est parfois dit désespoir
Ou on aperçoit le ciel sombré
Et souvent des fleurs fanées
De ce jour ou la langue est lourde
Pour pouvoir défendre la cause
Et donner naissance à une lumière
Eclairant les pas vers les meilleurs
Pénible séjour où son père crie tu as 18 ans,
Alors qu'il fait sa force maintenant
et disons même pour toujours
Plus douloureux ces moments passés
Au bord du chemin à l’attendre
Regardant la mort s’éloigner
Et la douleur se poser sur ses épaules
Sans oublier ses jours solitaires
Seul en brousse sous le soleil
Pensée et pensée et encoure pensée sans sommeil
Pour ne jamais revoir son tuteur.
Il y a de ce jour douloureux
Ou les pensées du passer amère
Nous envahissent et mouillent nos yeux
Des larmes de joie et parfois de rage
De la haine, la vengeance
Du remord qui ronge les cœurs
Surtout quand on manque la défense
Qui est présente et vit en malheur.
Il y a enfin ce jour dit mort
Que certain rêve à tout moment
Que les autres détestent gravement
Mais aucun de deux n’a tort.
La relativité du monde existe
Les uns veulent mourir
Et les autres vivres
Même sans avoir une nourriture.
Pour moi ce jour est meilleur
Car personne ne te critique négativement
Tous te pleurent et te maintiennent tendrement
C’est le jour ou un malheureux vit en bonheur
Oubliant ses peines et souffrances
Les mots du mépris
Car désormais il n’est plus
Et sa vie continue avec aisance
YEDIDIA
Tomber du ciel,
Un jour les anges m’ont poussé à recouvrir mes yeux de poussière
Une entité de lumière, une étoile venue d'Andromède,
Me revoilà dans un corps d’un nouveau née sur terre
C’était dû au Karma, payer un tribut de mes vies antérieures,
Car je suis une flamme au feu blanc orné-glacé, coloré d'azur
C‘était à l’époque où la fédération intergalactique
Avait décidée de la fin de l’Atlantide,
Disons,
Une métempsychose,
Une métensomatose à l’improviste
Dans le jardin splendide à l'horizon au zénith
Comment noyer tout un peuple,
Pour que le soleil se lève chaque à minuit par Jupiter
Comment se réchauffer sous un soleil mouillé,
Quel merveilleux malheur dans ce bel enfer
Lâchez-moi !
Laissez-moi partir à l’au-delà
Car j’ai tellement de choses lourdes à faire et à voir là-bas !
Ne pleurez pas en pensant à moi !
Ne gâcher pas votre bonheur,
Ce désir qui vous excite au plaisir terrestre et charnel
Soyez reconnaissants pour les belles années romantiques
Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour magique !
Je vous remercie pour l’amour
Que chacun m’a démontré sur terre.
Maintenant, il est temps pour moi
De voyager seul à d’autres coins de l’univers.
Pendant un court moment
Vous pouvez avoir de la peine
Dans ce joli cœur qui se cœur
Qui se meurt sans raison.
La confiance vous apportera
Réconfort et consolation.
Nous ne serons séparés
Que pour quelques temps !
Laissez les souvenirs apaiser
Votre douleur calmement !
Je ne suis pas loin et la vie continue
Et elle continuera comme avant !
Et si vous en avez besoin,
Appelez-moi et je viendrai je serai là!
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher,
Je serai là,
Et si vous écoutez votre cœur,
Vous sentirez clairement
La douceur de l’amour que j’apporterai quand je serai là !
Et quand il sera temps pour vous de partir,
Je serai là pour vous accueillir
Absent de mon corps, présent avec Dieu !
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer !
Je ne suis pas là, je ne dors pas !
Je suis les mille vents qui soufflent,
Je suis le scintillement des cristaux de neige,
Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
Je suis la douce pluie d’automne
Qui vous apporte récolte,
Je suis l’éveil des oiseaux
Dans le calme du matin,
Je suis l’étoile qui brille dans la nuit fébrile !
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer
Je ne suis pas là, je ne suis pas mort.
On se reverra un jour.
UN JOUR PARTIR,
UN JOUR RENAITRE,
VIVRE C'EST MOURIR,
VIVRE SE RENAITRE UN JOUR
VIVRE SE RENAITRE UN JOUR...