“Mon monde et moi face à toi” par Yedidia
Ton monde et toi face à moi
Me faites voire surement ce que mes yeux ne voient pas
Quand ton amour angélique au charme de ta gaieté,
Séduisaient mon cœur victime et mon âme martyre
Et pourtant toi tu ne faisais que t’amuser
Et Dans le couloir de ton amusement;
Je me sentais bousculer, maltraiter je ne kiffais je ne m’en prenais qu’à moi-même
Tu jouais, je souriais quand bien même j’en souffrais
Malheureusement ce qui m’immolait moi, te donnait toi la vie
Et dans ma cupidité la plus ultime
J’avais comme perdu le contrôle de ma destinée
En moi vibrer le réveil d’un tourbillon sans merci qui me calcinait
Et moi je t’ai choisi toi ma dulcinée pour être celle que Dieu me destine;
Pourtant toi tu ne faisais que t’amuser
Et comme seul au monde tu as apporté de la saveur à ma joie amère;
Tu as été ma colombe et ma Joconde.
Oui mon âme sœur
Tu avais saisi le calme de mon intimité profonde
Tu étais ma monalisa celle qui me partageait son envie de vivre ce monde;
Tu me marquais de ton indifférence face aux épreuves de la vie
Quand tu me parlais de ta passée misérable;
Cette fameuse histoire de ton vécu.
Tu me parlais de ce mot qu’on appelle ESPOIR;
Pour m’apprendre à vivre mon désespoir
Et seul triste dans ma nostalgie, quand il pleuvait dans mon cœur
C’était toi qui étais mon parapluie
Même dans le pire désastre de l’oubli
C’était toi qui y faisais renaître la foi et me faisait aimer mon ennui
Je reconnaissais ta silhouette même dans la plus sombre de nuit
Et aujourd’hui Je te revois même quand tout autour de moi noirci
Et quand je n’avais aucune vision ni direction
Tu m’avais appris à avoir des rêves et d’ambitions.
Tu m’avais rendu ma dignité que ce monde m’avait ravis
J’ai fini par te déclarer ma flamme
Et à ma surprise tu as tout rejeté, tu m’as demandé de t’oublier;
Et que c’était une peine perdue d’insister
Tu n’étais pas intéressé
L’angoisse de cet amour sombre a fait de moi un parasite
Tu es parti au milieu de la nuit sans même dire un mot de merci
La peine que cette douleur m’inflige ne te reconnaît que comme anesthésie
Tu as changé mon miel en vinaigre et mes jours en nuits
Et avec ma lyre, Je te chante dans tous les coins des rues
Habituer au venin du serpent
Je ne crains plus la piqûre des abeilles
En larmes J’avance droit devant;
Oubliant le goût succulent de ton miel;
Cette aventure de cet amour gâché, cet amour conjugué aux passées
Dans mon monde à moi face toi, tu étais ma mélodieuse;
Celle qui m’incitait à vivre une vie pieuse
Tu m’avais appris à avoir des ailes et de m’envoler
Et en toute honnêteté ma morale c’était toi qui me la remontait
Pourtant toi tu ne faisais que t’amuser
“Toi, le médecin de mon monde” par Gedeon
Bonjour ma plus belle;
Je vois encore ton visage et je ne sais pas comment le décrire;
Franchement ta beauté m’inspire et ton regard me donne le goût d’écrire
Quand tu n'es pas là j’ai le spleen le soleil s’endort et le ciel devient obscur
Mais lorsque tu ouvres tes paupières,
tes deux étoiles éclairent mes feuilles et donnes ma cure
Je ne te demande pas d’aimer mes mots mais plutôt de savoir qu’ils t’avaient choisi
Tu es la lumière et la source de mon inspiration, tu es ma poésie
J’aimerais t’écrire et te slammer partout dans l’univers toi le médecin de mon monde
Quand le soleil brille à l'horizon et quand il se cache dans les Ondes.
Tu as une voix qui secoue mon âme et la transporte dans l’au-delà
Elle résonne toujours accompagnée de belles notes or tu me parles a cappella
Je ne sais pas comment tu le fais, pourquoi tu la joues mais je suis condamné à l’adorer
Tu es ma mélodie, ma guitare et ma musique préférée
J’aimerais t’écouter partout dans l’univers toi le médecin de mon monde
Quand le soleil brille à l’horizon et quand il se cache dans les ondes
Et si tu essayes de déposer ta peau sur la paume de ma main
Je la toucherai comme une blessure soignée par un médecin
J’aimerais te voir coucher dans mes bras chaque fois quand tu es épuisée
Pour que ma main te masse comme un éléphant marchant sur les œufs;
Quand je tripote ta peau j’épuise ma folie et mes mains se dressent;
Tu es ma romance mon extase, tu es aussi ma tendresse
J’aimerais te toucher partout dans l’univers toi le médecin de mon monde
Quand le soleil brille à l’horizon et quand il se cache dans les ondes
J’aimerais revoir ton sourire, ce n’est pas parce que j’aime tes dents
Ta tristesse est la mienne et quand tu es contente je suis aussi content
On peut aller se balader là-dehors pour former mille sourires
Dans le brouillard ou sous une pluie d’amour ou sous un arbre romantique on va rire
On va danser, on va aimer, on souhaitera que ça soit la première fois
Tu es mon ami mon jouet tu es aussi la source de ma joie
J’aimerais jouer et blaguer avec toi
partout dans l’univers toi le médecin de mon monde
Quand le soleil brille à l’horizon
et quand il se cache dans les ondes
J’aimerais t’écrire et te slammer
partout dans l’univers et dans mon monde
Quand le soleil brille à l'horizon
et quand il se cache dans les ondes