Espoir
Aujourd’hui mon monde est limité
J’écris ma vie sur des morceaux de papiers dont l’encre remplace mes larmes
Demain commence aujourd’hui
Dans une ambiance douloureuse je trouve mon énergie pour construire mon future,
Dans la sueur de mes douleurs j’y vois ma prospérité
Demain commence aujourd’hui
Garçon devient champion à l’entrainement, le combat ne fera que te révéler au grand public
Demain commence aujourd’hui
Jérôme
J’ai vécu une douleur digne et énergétique que mon passée m’a égaliser
Un garçon d’azure sans prospérité mais hélas cette source de sueur est devenu un bon jour salaire et stylo discret qui écrivant sur l’univers papier d’une future ambiance de ma vie égoïste, je ne regrette pas mon passée malgré ses douleurs d’amour.
Ce n’était pas de sa faute mais l’ignorance qui m’a fait peur de mon future
Mon passée m’a fait tatouer une belle paire, soudain devient une voix de mon future résilient
Gédéon
Ses siens croyaient a l’existence de l’Égalité et louaient a la dignité, ils vivaient dans l’ambiance et marchaient dans la prospérité, mais lui John, il était un garçon oublier tout seul dans l’univers il n’inspirait que de la pitié quand je voyais sa peau mouiller de sueur
Mais tant pis toujours avec son stylo il déposait sa vie sur des papiers, il n’écrivait que sur son future et négliger son fameux passée
Ses oreilles restés bouchés dans la demeures de ses contempteurs il faut me croire c’était un garçon courageux perdu tout seul dans l’espoir
Armand
Le salaire douloureux de nos précédents frappe encore sur nous
L’univers était créé par le tout puissant, il y plaça toute sorte de créatures, mais l’homme fut son être chérit, raison pour laquelle il lui donna l’intelligence, le pouvoir de dominer sur toute chose sur la terre,
L’homme perdant sa dignité parce qu’il était poussé par une force énergétique trompeuse du diable
Le salaire douloureux de nos précédents frappe encore sur nous
Alors le tout puissant punissant l’homme disant : qu’il mangera par la sueur de son front, et qu’il ne vivra pas éternellement car le salaire du péché c’est la mort
Quel que soit l’égoïsme, la discrétion, la prospérité, l’amour que l’on peut avoir sur la terre
La mort est toujours là
Le salaire douloureux de nos précédents frappe encore sur nous
La suprématie de Dieu surpasse l’intelligence de l’homme, car personne ne connait l’heure ni le jour où la mort viendra
Si tout le monde savait comment arrêter la mort le tout puissant n’aurait pas due avoir sa valeur
Qui est donc ce philosophe qui enseignerait comment arrêter la mort?
Yedidia
L’égoïsme fraternel, impacte notre dignité quotidienne,
Jour et nuit travailler sans salaire
Pour espérer à un bonheur amer et à une réussite avortée
Comment les gens s’entre tue pour une dignité indigne,
Sueur pour ne rien récolter,
Bâtir pour ensuite détruire,
L’univers à l’envers a donné à la vie une ambiance triste et une mort vive
Comment prospérer dans une chute libre?
L’égalité est la victime de la discrétion sociale,
Pourtant demain commence aujourd’hui, demain commence aujourd’hui
“Combien Saigne Mon Ame” par Mwanza
Qu’importe les choses auxquelles nous croyons, la vie demeure souffrance et tragédie
Qu’importe le rêve auquel nous croyions, le bonheur est toujours dans le mépris
Des larmes jaillissent, des cœurs toujours meurtris, qui comprendra donc cette réalité
Qui annoncera donc cette vérité exposée à des réalités cassantes et à des épreuves choquantes
Vu la souffrance devenu la règle, le bonheur à son tour imprime la norme
Nous exige à vivre, son nom c’est logique, le pauvres ne peuvent rien contre les riches, les richards non plus face à l’argent elle, moins plus le froid contre un tonique.
Un dirigé face à un soit dirigeant, une victime face à son suicidaire
Un employé face à son employeur
Un peuple contre son gouvernement
Jusque-là, je note que dans mon journal, les constants et réalité de la vie les mauvais aussi que les bons sans changer d’avis
Mais aujourd’hui j’ai décidé de le sortir de mon journal
Et exposer l’amertume de ce gamin orphelin non pas par volonté de Dieu
Mais parce que le monde l’a voulu et décidé
Par force du mal, ôter la vie la vie d’un père et y laisse sa famille modeste
Le pire est qu’il ne devait rien au monde
Sa fortune même ne pouvait nourrir sa famille
Mais comment devrait-il prendre soins du monde
Alors qu’il ne pouvait même pas rendre d’ici un meilleur
J’en ai marre de noter sur une femme violer
Par un homme qui est aussi venu d’une femme
Grandit et devenu homme grâce a une femme
Mais qui n’hésite pas à la détruire avec facilité mais où va le monde
Je ne supporte plus écrire sur des petits villageois qui fréquentent des modestes écoles
Souvent maltraiter par des dis bourgeois et se disent appartenir à une partie du monde
C’est comme vivre indépendant dans un monde très dépendant
Vivre l’esclavage comme dans la dépendance alors, il n’y a pas de place pour survivre l’indépendance
Je commence par arracher des feuilles comme un fils arracher dans un cœur
Pour être mener et entrainer parmi les rebelles enfin de revenir un jour en finir avec ses cœurs
Je préfère encore arracher des feuilles qui graver l’histoire d’une mère à merveille qui donne naissance a une jolie gamine pour pouvoir la maltraiter les jours avenirs parce qu’elle est très grande et qu’elle est trop petite
Parce qu’elle a toujours raison et qu’elle a tort
Une chose est sure même qu’elle n’y peut rien.
De plus je déteste voire une adolescente qui oublie même qu’elle est dépendante depuis son enfance mais n’hésite à traiter ses parents d’exigeant.
Les jeunes de nos jours ne réussissent parce qu’ils ne réfléchissent
Nombreux vivent pour rêver du venin, je suis convaincue qu’ils mourront en rêvant
Autant mieux arracher encore et encore ces fameux feuilles cachées, elles n’ont plus d’importance
Car personne ne veut reconnaitre sa souffrance
Les forts sacrifient les faibles, les grands imposent aux petits
Les richards manipulent les misérables
Vraiment ce monde n’a plus d’appétits
Combien de temps je vais pouvoir noter sur un bonheur perdu
Sur une souffrance infinie
Sur une nature imposer mais où est passé la pitié
L’harmonie entre nous humain, pourquoi autant être cœur mais, veux-tu vivre en dehors de l’humanité ?
Par ta faute un bébé traine à l’orphelinat, une mère pleure son fils maintenant
Un homme a quitté sa femme et ses enfants
Un soldat a trahit son attroupement
Regarde un peu autour de toi, contemple un peu bien le monde
Regarde combien tu blesse sous ton toit
Combien as-tu rendu misérable
Je pleure autant que je crie
Avec un cœur plein d’amertume
A ma place mon Bic-plume la décrit et vous révèle combien saigne mon âme.