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Atelier 3 En Continue (Demain commence aujourd’hui)

Espoir

Aujourd’hui mon monde est limité

J’écris ma vie sur des morceaux de papiers dont l’encre remplace mes larmes

Demain commence aujourd’hui

Dans une ambiance douloureuse je trouve mon énergie  pour construire mon future,

Dans la sueur de mes douleurs j’y vois ma prospérité

Demain commence aujourd’hui

Garçon devient champion à l’entrainement, le combat ne fera que te révéler au grand public

Demain commence aujourd’hui

 
 

Jérôme


J’ai vécu une douleur digne et énergétique que mon passée m’a égaliser

Un garçon d’azure sans prospérité  mais hélas cette source de sueur est devenu un bon jour salaire et stylo discret qui écrivant sur l’univers papier d’une future ambiance de ma vie égoïste, je ne regrette pas mon passée malgré ses douleurs d’amour.

Ce n’était pas de sa faute mais l’ignorance qui m’a fait peur de mon future

Mon passée m’a fait tatouer une belle paire, soudain devient une voix de mon future résilient

 
 

Gédéon

Ses siens croyaient a l’existence de l’Égalité et louaient a la dignité, ils vivaient dans l’ambiance et marchaient dans la prospérité, mais lui John, il était un garçon oublier tout seul dans l’univers il n’inspirait que de la pitié quand je voyais sa peau mouiller de sueur

Mais tant pis toujours avec son stylo il déposait sa vie sur des papiers, il n’écrivait que  sur son future et négliger son fameux passée

Ses oreilles restés bouchés dans la demeures de ses contempteurs il faut me croire c’était un garçon courageux perdu tout seul dans l’espoir

 
 

Armand



Le salaire douloureux de nos précédents frappe encore sur nous

L’univers était créé par le tout puissant, il y plaça toute sorte de créatures, mais l’homme fut son être chérit, raison pour laquelle il lui donna l’intelligence, le pouvoir de dominer sur toute chose sur la terre,

L’homme perdant sa dignité parce qu’il était poussé par une force énergétique trompeuse du diable

Le salaire douloureux de nos précédents frappe encore sur nous

Alors le tout puissant punissant l’homme disant : qu’il mangera par la sueur de son front, et qu’il ne vivra pas éternellement car le salaire du péché c’est la mort

Quel que soit l’égoïsme, la discrétion, la prospérité, l’amour que l’on peut avoir sur la terre

La mort est toujours là

 

Le salaire douloureux de nos précédents frappe encore sur nous

La suprématie de Dieu surpasse l’intelligence de l’homme, car personne ne connait l’heure ni le jour où la mort viendra

Si tout le monde savait comment arrêter la mort le tout puissant n’aurait pas due avoir sa valeur

Qui est donc ce philosophe qui enseignerait comment  arrêter la mort?

 
 

Yedidia

L’égoïsme fraternel, impacte notre dignité quotidienne,

Jour et nuit travailler sans salaire

Pour espérer à un bonheur amer et à une réussite avortée

Comment les gens s’entre tue pour une dignité indigne,

Sueur pour ne rien récolter,  

Bâtir pour ensuite détruire,

L’univers à l’envers  a donné à la vie une ambiance triste et une mort vive

Comment prospérer dans une chute libre?

L’égalité est la victime de la discrétion sociale,

Pourtant demain commence aujourd’hui, demain commence aujourd’hui

 
 

 “Combien Saigne Mon Ame” par Mwanza

Qu’importe les choses auxquelles nous croyons, la vie demeure souffrance et tragédie

Qu’importe le rêve  auquel nous croyions, le bonheur est  toujours dans le mépris

Des larmes jaillissent, des cœurs toujours meurtris, qui comprendra donc cette réalité

Qui annoncera donc cette vérité exposée à des réalités cassantes et à des épreuves choquantes

Vu la souffrance devenu la règle, le bonheur à son tour imprime la norme

Nous exige  à vivre, son nom c’est logique, le pauvres ne peuvent rien contre les riches, les richards non plus face à l’argent elle, moins plus le froid contre un tonique.

Un dirigé face à un soit dirigeant, une victime face à son suicidaire

Un employé face à son employeur

Un peuple contre son gouvernement

Jusque-là, je note que dans mon journal, les constants et réalité de la vie les mauvais aussi que les bons sans changer d’avis

Mais aujourd’hui j’ai décidé de le sortir de mon journal

Et exposer l’amertume de ce gamin  orphelin non pas par volonté de Dieu

Mais parce que le monde l’a voulu et décidé

Par force du mal, ôter la vie la vie d’un père et y laisse sa famille modeste

Le pire est qu’il ne devait rien au monde

Sa fortune même ne pouvait nourrir sa famille

Mais comment devrait-il prendre soins du monde

Alors qu’il ne pouvait même pas rendre d’ici un meilleur

J’en ai marre de noter sur une femme violer

Par un homme qui est aussi venu d’une femme

Grandit et devenu homme grâce a une femme

Mais qui n’hésite pas à la détruire avec facilité mais où va le monde

Je ne supporte plus écrire sur des petits villageois qui fréquentent des modestes écoles

Souvent maltraiter par des dis bourgeois et se disent appartenir à une partie du monde

C’est comme vivre indépendant dans un monde très dépendant

Vivre l’esclavage comme dans la dépendance alors, il n’y a pas de place pour survivre l’indépendance

 

Je commence par arracher des feuilles comme un fils arracher dans un cœur

Pour être mener et entrainer parmi les rebelles  enfin de revenir un jour en finir avec ses cœurs

Je préfère encore arracher des feuilles qui graver l’histoire d’une mère à merveille qui donne naissance a une jolie gamine pour pouvoir la maltraiter les jours avenirs parce qu’elle est très grande et qu’elle est trop  petite

Parce qu’elle a toujours raison et qu’elle a tort

Une chose est sure même qu’elle n’y peut rien.

De plus je déteste voire une adolescente qui oublie même qu’elle est dépendante depuis son enfance mais n’hésite à traiter ses parents d’exigeant.

 Les jeunes de nos jours ne réussissent parce qu’ils ne réfléchissent

Nombreux vivent pour rêver du venin, je suis convaincue qu’ils mourront en rêvant

Autant mieux arracher encore et encore ces fameux feuilles cachées, elles n’ont plus d’importance

Car personne ne veut reconnaitre sa souffrance

Les forts sacrifient les faibles, les grands imposent aux petits

Les richards manipulent les misérables

Vraiment ce monde n’a plus d’appétits

Combien de temps je vais pouvoir noter sur un bonheur perdu

Sur une souffrance infinie

Sur une nature imposer mais où est passé la pitié

L’harmonie entre nous humain, pourquoi autant être cœur mais, veux-tu vivre en dehors de l’humanité ?

Par ta faute un bébé traine à l’orphelinat, une mère pleure son fils maintenant

Un homme a quitté sa femme et ses enfants

Un soldat a trahit son attroupement

Regarde un peu autour de toi, contemple un peu bien le monde

Regarde combien tu blesse sous  ton toit

Combien as-tu rendu misérable

Je pleure autant que je crie

Avec un cœur plein d’amertume

A ma place mon Bic-plume la décrit et vous révèle combien saigne mon âme.